Les origines modernes du développement personnel

43012426_s

Le développement personnel est né dans un contexte de crise économique et de libération des mœurs. Il s’agit non seulement de repenser l’homme dans une approche globale, mais aussi de travailler à Être pour tendre vers un devenir plus harmonieux. Cette conception alternative de la perception de l’Être humain et de la société s’accompagne d’une explosion de nouvelles pratiques ayant toutes pour objectif commun le développement de l’Homme ; l’élargissement de sa conscience dans la perspective de ne pas vivre dans « Le meilleur des mondes »1 . Le postulat, érigé en véritable loi ontologique, est que pour changer le monde il faut commencer par se changer soi-même. Toutefois, ces aspirations de connaissance de soi sont loin d’être nouvelles. Déjà, la philosophie antique se consacrait aux mêmes préoccupations. Ainsi le concept de développement personnel, sous son apparence novatrice, puise ses racines dans la philosophie antique (cf art. la philosophie antique aux sources du développement personnel), et il est redécouvert, mis au goût du jour, dans la contre-culture américaine des années 60.

L’apparition du développement personnel dans la contre-culture américaine des années 60

La contre-culture américaine est paradoxalement un phénomène culturel de l’alternative. C’est une période marquée par une révolte globale contre le système, un rejet de la société de consommation, de la culture et des idéologies dominantes. Le temps de la « beat generation », pouvant être traduit par génération foutue, va ainsi ouvrir la voie au phénomène New-Age qui, dans un syncrétisme d’influences et de traditions, va propulser l’idéologie du développement personnel et ses pratiques au rang de véritable impératif culturel.

Le développement personnel a donc pris son essor dans le courant de la contre-culture des années soixante ; faisant « face à une société techniciste mue par la rationalité aveugle du rendement et du profit qui nivelle les différences culturelles, qui détruit le lien de l’homme à la nature, qui étouffe la communication sous l’avalanche des messages déversés par les mass-média, il se présente d’abord comme une protestation de l’Homme contre l’aliénation sociale, comme une revendication de l’être contre la course épuisante à l’avoir, comme une recherche de l’existence face aux « ways of life » (modes de vie) normalisés et obligatoires de la société de consommation dirigée »2 . Cette réaction face à la culture contemporaine a amorcé la possibilité d’une autre vie, dont le sens serait guidé par la connaissance de soi et un retour à l’unité avec la nature. Au cours de ces années, la réalisation de soi connaît une nouvelle orientation et devient le développement personnel. Affirmer le sens des responsabilités et du choix de tout un chacun, redécouvrir le rapport à l’autre, redécouvrir son corps et ses exigences, prôner le principe de plaisir face au rendement. Les sixties ont ainsi ouvert la voie à une foule de psychologues, formateurs, coachs, thérapeutes, conseillers en ressources humaines. « Ces acteurs nouveaux se sont présentés comme des spécialistes du développement personnel. Sous leur influence, d’innombrables techniques ont vu le jour. Des stages, des séminaires, des consultations ont attiré un public de plus en plus large. Les manuels de développement personnel ont inondé les rayons des librairies. Un véritable marché de l’épanouissement s’est constitué. De son côté, le monde de l’entreprise a commencé à s’intéresser au développement personnel. Les directions des ressources humaines ont compris le parti qu’elles pouvaient en tirer pour dynamiser les salariés »3 . Le développement personnel semble ainsi se propager et être intégré à tous les domaines de la société. Il annonce la possibilité d’entrer dans une nouvelle ère, dans une redécouverte du sacré, exprimant « l’importance de la dimension spirituelle de l’homme et son intégration dans un « tout » de vie, la recherche du sens de la vie, les liens entre les êtres humains et le reste de la création, le désir de transformation personnelle et sociale, le rejet d’une vision rationaliste et matérialiste de l’humanité »4. Le développement personnel s’inscrit donc dans la culture « New Age » des années 60, avec la volonté d’instaurer un nouveau paradigme de vie.

Le phénomène New Age

Le New-Age procède d’une interprétation astrologique selon laquelle nous aurions ou nous serions en train de quitter l’ère des poissons pour entrer dans la nouvelle ère, celle du verseau (communément appelé New-Age). Cependant ce n’est pas un mouvement à proprement parler et il dépasse largement le cadre de la vision astrologique. C’est un phénomène très vaste qui incorpore toutes sortes d’idées n’ayant pas de lien direct avec le passage de l’ère des poissons à celle du verseau. Il s’agit avant tout d’un phénomène global marqué par la volonté d’un futur meilleur qui doit être appréhendé dans son sens littéral de « nouvelle ère », comme caractérisant une unité temporelle. Il s’étend à tous les domaines : médecine, arts, science. « Loin d’être un réseau unifié et uniforme, le New-Age est au contraire un réseau fluide d’adeptes dont l’approche est de penser globalement et d’agir localement »5. Le New-Age est le berceau du développement personnel voulant favoriser l’émergence d’une société alternative et holistique. Alternative d’une part dans la mesure où il apparaît dans une frénésie de révolte contre la société industrielle et consumériste du monde occidental. Holistique d’autre part considérant que l’Homme fait partie d’un ensemble plus vaste qu’est le cosmos et qu’il se place dans une relation d’interdépendance avec son environnement. L’alternative envisagée est donc une transformation de soi pour transformer le monde, et ainsi permettre une articulation harmonieuse de l’un et du multiple au nom du principe ontologique d’unité. Il s’agit donc de transformer l’individu pour changer le collectif par un effet de contagion. Dans cette perspective, le New-Age s’investit dans trois domaines majeurs :

– Le développement de soi avec l’émergence d’un florilège de pratiques (rebirth, systémique, gestalt, training autogène, respiration holotropique, etc.) dont l’objectif est une meilleure connaissance de soi pour un mieux-être, un changement personnel, et une meilleure efficacité tant professionnelle, affective, familiale que relationnelle.

– Le culte d’une nouvelle forme de sacré teinté d’ésotérisme et de mysticisme occidental et oriental. Le New-Age construit un véritable syncrétisme symbolique puisant dans la sagesse antique, le savoir druidique, le soufisme, la kabbale. Il propose des pratiques anciennes réactualisées comme l’astrologie, la numérologie, le Yi King, le zen, le bouddhisme, le tarot, le magnétisme ainsi que de nouvelles pratiques telles que le channeling, le dialogue avec les anges, la transcommunication, la régression dans les vies antérieures. L’objectif est toujours le développement de soi, un éveil de la conscience avec un usage individuel du sacré au nom de la recherche du « Dieu intérieur »6.

– Un retour à la nature, aux produits biologiques, la diététique, la médecine douce *, la gymnastique, le yoga, le massage. Il s’agit ainsi de maintenir en bonne santé notre corps tout comme d’assurer le devenir de la planète.

Paquerette-022b

Connaissance de soi, réappropriation du sacré et retour à la nature sont les soubassements de la construction d’une vie meilleure. Ces orientations sont véhiculées par de grands symboles culturels qui permettent au New-Age de pénétrer dans la culture occidentale et en particulier américaine. À ce titre, les événements les plus emblématiques furent le célèbre festival de Woodstock en 1969 dans l’état de New-York et la comédie musicale Hair avec sa chanson emblématique « Aquarius »7. Le phénomène New-Age n’est pas tant un mouvement qu’une unité temporelle, l’annonciation d’une nouvelle ère de prises de conscience. Il est représenté en filigrane dans de nombreux domaines sans pour autant que ceux-ci soient à assimiler directement à lui. Autrement dit, l’ensemble des réflexions et des pratiques qui le caractérisent ne sont plus cantonnées à un mouvement contestataire de la société occidentale contemporaine mais revêtent la forme d’un nouveau paradigme de vie disséminé dans la culture occidentale comme une de ses composantes à part entière. A ce titre, le développement personnel fait partie intégrante de cette composante. En 1980 Marylin FERGUSON, dans son livre « Les enfants du verseau », qui théorisa le New Age, définit cette nouvelle ère comme « l’émergence d’un nouveau paradigme culturel, annonciateur d’une ère nouvelle dans laquelle l’humanité parviendra à réaliser une part importante de son potentiel psychique et spirituel  »8. Le développement personnel contemporain est donc né avec la possibilité d’entrer dans une nouvelle ère, dans une redécouverte du sacré. Il s’inscrit pleinement dans le phénomène New Age, avec la volonté d’instaurer un nouveau paradigme de vie et connaît un grand retentissement dans la mesure où les mentalités convergent dans une perception très répandue que le moment est venu d’un changement radical des individus, de la société et du monde, dont le besoin manifeste s’exprime sous différentes formes dans différents domaines. Dans cette ouverture à l’expérience et à l’univers de tous les possibles, le mouvement du « potentiel humain » fait son apparition. Cette expression « potentiel humain » est aux fondements du développement personnel. Elle est apparue pour la première fois en 1960, lors d’une conférence d’ HUXLEY au centre médical de San Francisco de l’université de Californie intitulée « human potentialities ». Il explique que l’homme a un potentiel latent, qui ne demande qu’à être exploré et exploité. S’appuyant sur les neurosciences, il déclare que « Les neurologues nous ont montré qu’aucun être humain n’a jamais utilisé plus de 10 % des neurones de son cerveau. Et, peut-être, si nous entreprenons cette tâche de la bonne manière, nous serons capables de produire des choses extraordinaires en dehors de cette étrange ouvrage qu’est l’homme »9 . D’ailleurs cette assertion est encore érigée en véritable étendard par les praticiens du développement personnel qui prônent le pouvoir « tout illimité » de l’être humain. Ce mouvement du potentiel humain, à partir des travaux de la psychologie humaniste et de la psychologie transpersonnelle en particulier, a donné naissance à de nombreux centres de développement personnel dont le plus représentatif à cette époque et qui fait encore autorité dans le milieu est le centre Esalen10 en Californie ou encore la communauté de Findhorn dans le nord de l’Ecosse. Puis le phénomène s’est développé outre atlantique avec la création en France du centre de développement de potentiel humain en 1972 et en 1978 est créée l’association française de psychologie humaniste regroupant animateurs et thérapeutes utilisant des techniques psycho-corporelles. Aujourd’hui le nombre de « growth center » (centres de croissance), rayonne sur toute la surface du globe sous différentes formes.

Le Centre Esalen

L’institut Esalen est fondé en 1962 par Michael MURPHY et Dick PRICE. Il est situé sur une ancienne propriété indienne (les « Esselen ») à Big Sur en Californie et jouit de la présence de sources d’eau chaude. Depuis sa création, cette organisation à but non lucratif s’est consacrée à l’exploration du potentiel humain et à des expériences transpersonnelles devant permettre la réalisation de soi. Également centre éducatif alternatif, y sont dispensés des enseignements de religion comparée, de mythologie, de mysticisme, de méditation, de psychothérapie et des pratiques d’élargissement de la conscience. On y mène des activités thérapeutiques novatrices et toutes sortes d’investigations spirituelles surtout d’inspiration orientale. Des centaines de scientifiques, artistes, « maÎtres spirituels », y ont séjourné à un moment ou à un autre. Stanislav GROF, un des pères de la psychologie transpersonnelle dira que « Esalen offre de nombreuses possibilités de séminaires dans différents domaines qui sont souvent trop avant-gardistes pour d’autres lieux ». Aujourd’hui c’est un centre de retraite où les gens vivent et travaillent dans un cadre communautaire. Les résidents participent toujours à une incroyable variété d’enseignements alternatifs et de programmes de croissance personnelle sur des sujets allant de la méditation aux massages en passant par au yoga, la psychologie, l’écologie, la spiritualité, l’art, la musique, etc. Esalen propose plus de cinq cents ateliers et séminaires par an et continue d’être un haut lieu du développement personnel.

Tout une série d’approches psychologiques et de pratiques plus ou moins thérapeutiques sont abordées telles que la bioénergie, la gestalt thérapie, l’analyse transactionnelle, la thérapie primale, le rebirth, pour ne citer que celles-là. L’approche transpersonnelle revendique la réalisation de l’être humain par l’expérience mystique, pouvant aller jusqu’à la prise de psychotropes. Parallèlement émerge tout un ensemble de pratiques psychocorporelles afin de se réapproprier son Être, annihilé par la société. Dès lors, le développement personnel passe par l’expérience et face à la société occidentale contestée, se teinte d’orientalisme et de religiosité entendue comme une nouvelle relation au sacré. Nombre de personnes partent sur les chemins de Katmandou et ramènent dans leurs bagages de nouvelles perceptions du monde et du corps, de l’être humain, de l’articulation entre le corps et le monde, de nouvelles pratiques de méditation, de lâcher-prise et s’installent comme guides spirituels pouvant montrer le chemin de la réalisation de soi (beaucoup d’autres n’en reviennent pas). Ainsi un grand nombre de pratiques sont arrachées de leur environnement culturel et utilisées par les occidentaux de façon telle, que le yoga par exemple «devient un vague exercice corporel susceptible de générer un bien-être mental et affectif. Auquel cas, la méthode hindoue de Délivrance (Moksha) serait réduite à une vulgaire gymnastique d’entretien « à la portée de tous ». Nous aurions affaire à une médicalisation profane, en un sens illégitime, de rites ayant à l’origine une toute autre fonction »11. Ainsi précise LACROIX, « le développement personnel moderne a été pris en main par des techniciens. Le technicisme s’est emparé de la réalisation de soi. Il a insufflé son esprit. Si bien que, depuis cinq décennies, le public a pris l’habitude d’associer « développement personnel » et « techniques ». On l’a persuadé qu’il ne pouvait y avoir de développement personnel sans recours à des techniques »12. En conséquence, au nom de l’impératif contre-culturel, de la nouvelle ère de l’alternatif, le technicisme du développement personnel a balayé tout le patrimoine culturel que nous ont laissé les écrivains, philosophes, artistes. Depuis des siècles ils ont mené une réflexion et ils se sont interrogés sur la réalisation de soi, le sens de la vie, la condition humaine, etc. (LACROIX). Et face à cette vague des sixties, leurs savoirs ont été classés au rang d’antiquité et mis de côté au profit d’un syncrétisme de traditions largement importées d’orient et plus récemment, de la culture amérindienne (en particulier à travers les pratiques chamaniques).

Les influences multiples du développement personnel

Le développement personnel, sous ses aspects novateurs, revisite les traditions anciennes et les courants ésotériques autrefois réservés à une élite. Parmi ces traditions et courants, nous pouvons citer le théosophisme de BLATAVSKY, l’anthroposophie, le spiritisme, les pratiques occultes de l’Egypte ancienne, la kabbale, le soufisme, le gnosticisme des premiers siècles du christianisme, l’hindouisme, le savoir druidique, l’alchimie médiévale, l’hermétisme, le bouddhisme zen, le yoga, etc. À la fin de 1977, Marilyn FERGUSON envoya un questionnaire à 210 personnes engagées dans la transformation sociale , qu’elle appela « Conspirateurs du Verseau ». La question suivante est intéressante : « Lorsqu’on a demandé aux personnes interrogées de citer des individus dont les idées les ont influencées, soit à travers un contact personnel, soit par leurs écrits, ceux qui furent le plus souvent nommés, dans l’ordre de fréquence, furent Pierre TEILHARD de CHARDIN, Carl Gustave JUNG, Abraham MASLOW, Carl ROGERS, Aldous HUXLEY, Robert ASSAGIOLI, et J. KRISHNAMURTI. Parmi les autres noms souvent mentionnés : Paul TILLICH, Hermann HESSE, Alfred NORTH WHITE-HEAD, Martin BUBER, Ruth BENEDICT, Margaret MEAD, Gregory BATESON, Tarthang TULKU, Alan WATTS, Sri AUROBINDO, Swami MUKTANANDA, D.T. SUZUKY, Thomas MERTON, Willis HARMAN, Kenneth BOULDING, Elise BOULDING, Erich FROMM, Marshall MCLUHAN, Buckminster FULLER, Frederic SPIELBERG, Alfred KOZIBSKY, Heinz von FOERSTER, John LILLY, Werner ERHARD, Oscar ICHAZO, Maharishi MAHESH YOGI, Joseph CHILTON PEARCE, Karl PRIBRAM, Gardner MURPHY, et Albert EINSTEIN »13. C’est dans ce terreau fertile de savoirs que se sont forgées les pratiques de développement personnel. Néanmoins il s’est approprié la réalisation de soi dans un cadre psychologisant, technicisant et professionnalisant au détriment de tout un pan du patrimoine traditionnel et culturel occidental sur la réalisation de soi. Or, loin d’être un concept nouveau, le développement personnel, en tant que processus de réalisation de soi, prend ses sources dans la philosophie antique et nous ne pouvons pas faire abstraction de cette parenté (cf art. la philosophie antique aux sources du développement personnel).

Julien B.


1 HUXLEY Aldous, Le meilleur des mondes, Paris : Éditions Pocket, 1977, 211p (il s’agit d’un titre ironique désignant le pire des monde, un monde sans conscience, selon huxley).

2 Dirigé par FRIEDMANN Daniel et LAMBERT Edwidge, Thérapies de l’âme, ed. Autrement, 1982, Série mutation n°43, p.157 .

3 LACROIX Michel, Se réaliser, Petite philosophie de l’épanouissement personnel, Paris : ed. Robert Laffont, 2009, p.158 .

4 Conseil pontifical de la culture pour le dialogue interreligieux, Jésus-Christ Le porteur d’eau vive, Une réflexion chrétienne sur le «Nouvel Âge», disponible à l’adresse suivante : http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/interelg/documents/rc_pc_interelg_doc_20030203_new-age_fr.html .

5 Ibid.

6 Expression empruntée à Carl Gustave JUNG.

7 Paroles de la chanson Aquarius (Verseau) : « Quand la lune sera dans la septième maison et Jupiter aligné avec mars, la paix guidera les planètes, et l’amour dirigera les étoiles. c’est l’aube de l’âge du verseau, l’âge du verseau ; Harmonie et compréhension, sympathie et confiance abondante. Non, plus de mensonges ou de dérisions, les rêves vivant de vision d’or, révélation de crystal mystique et la vraie libération de l’esprit Verseau comme nos cœurs vont battre pendant la nuit. Nous dansons à l’aube du jour pour être les porteurs de l’eau, notre lumière passera…Nous sommes les esprits de l’âge du verseau, l’âge du verseau ; Harmonie et compréhension, sympathie et confiance abondante… »

8 FERGUSON Marilyn, Les enfants du verseau, pour un nouveau paradigme, Paris : Éditions Calmann-Lévy, 1988, 340 p.

9 KRIPAL Jeffrey, An excerpt from Esalen America and the religion of no religion, publié par les Presses Universitaires de Chicago, disponible à l’adresse suivante : http://www.press.uchicago.edu/Misc/Chicago/453699.html,

10 Voir encadré ci-dessous.

11 GEAY Patrick, Hermès trahi, impostures philosophiques et néo-spiritualisme d’après l’œuvre de René guénon, Paris, éditions Dervry, 1996, p.26.

12 LACROIX Michel, Se réaliser, Petite philosophie de l’épanouissement personnel, Paris : Éditions Robert Laffont, 2009, p.164.

13 FERGUSON Marilyn, Les enfants du verseau, pour un nouveau paradigme, Paris : Éditions Calmann-Lévy, 1988, p50 et p.434.

Ajouter un commentaire